Un de plus dans une longue lignée, une entité morne parmi beaucoup d'autres comme lui, un nombre presque infini de retardataires endommagés au cerveau. La vie biologique continue, pensa-t-il. Mais l'âme, l'esprit, tout est mort. Une machine réflexe. Comme un insecte. Répéter des modèles condamnés, un seul motif, encore et encore maintenant. Approprié ou non.


(One more in a long line, a dreary entity among many others like him, an almost endless number of brain-damaged retards. Biological life goes on, he thought. But the soul, the mind-everything else is dead. A reflex machine. Like some insect. Repeating doomed patterns, a single pattern, over and over now. Appropriate or not.)

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L'extrait reflète une perspective sombre sur l'existence, décrivant la vie comme un cycle continu dépourvu de sens. Le protagoniste se considère comme un autre être perdu parmi beaucoup, suggérant que malgré les fonctions biologiques qui se poursuivent, il y a une profonde absence de conscience et d'individualité. Ce sentiment de désespoir met en évidence le sentiment d'être piégé dans une existence monotone, similaire à la façon dont un insecte fonctionne sur l'instinct plutôt que sur la pensée.

Cette perspective soulève des questions sur la nature de l'humanité et l'essence de l'âme. Le terme «machine réflexe» évoque l'idée que les individus agissent sans véritable conscience, coincés dans des comportements répétitifs. La démission du protagoniste à faire partie d'une "entité morne" suggère une profonde désillusion avec le but de la vie, car ils critiquent l'échec de l'esprit à s'engager de manière significative. Dans l'ensemble, il capture un sentiment de désespoir au milieu de la persistance de la vie.

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Mise à jour
janvier 24, 2025

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