Dans "Tout ce qui est perdu" de William S. Burroughs: le cahier latino-américain "," L'auteur réfléchit à l'impact profond que la peur de la mort a sur la vie humaine. Il suggère que cette peur peut entraîner une paralysie ou une stase, où les individus deviennent alourdis par leurs angoisses concernant la mortalité, ce qui empêche finalement leur capacité à vivre pleinement. Cette idée capture la tension entre la vie et l'inévitabilité de la mort, soulignant comment cette peur peut éclipser les expériences quotidiennes.
Burroughs articule la mort non seulement comme la fin de la vie, mais comme une présence omniprésente qui influence nos actions et nos pensées. La métaphore du «poids mort du temps» suggère que le temps lui-même peut se sentir contraignant lorsque nous sommes préoccupés par la mortalité. En explorant ces thèmes, Burroughs encourage les lecteurs à affronter leurs peurs plutôt que de leur permettre d'immobiliser leur existence, favorisant un engagement plus profond avec la vie au milieu de l'inévitabilité de la mort.