Je les appelle les histoires des "rues humides causent la pluie". Le papier en est plein.


(I call these the "wet streets cause rain" stories. Paper's full of them.)

(0 Avis)

Dans le livre de Michael Crichton "State of Fear", il critique la façon dont les données et les preuves sont souvent mal utilisées dans les médias et le discours public. Il souligne la tendance à tirer des conclusions incorrectes des données corrélationnelles, ce qui peut conduire à des récits trompeurs. L'un de ses principaux exemples implique l'expression «les rues humides provoquent la pluie», démontrant comment les hypothèses peuvent facilement être mal interprétées. Cette métaphore sert de rappel à la mise en garde de l'importance de la pensée critique lors de l'interprétation des informations.

Crichton souligne que de nombreuses nouvelles suivent ce raisonnement imparfait, présentant des corrélations comme des causes sans preuves suffisantes. Son commentaire s'étend au-delà des questions environnementales pour englober des débats sociétaux plus larges, exhortant les lecteurs à reconnaître la différence entre la corrélation et la causalité. En contestant ces récits, il espère promouvoir une discussion plus éclairée et rationnelle sur des sujets scientifiques et leurs implications pour la société.

Page views
52
Mise à jour
janvier 28, 2025

Rate the Quote

Ajouter un commentaire et une critique

Avis des utilisateurs

Basé sur 0 avis
5 étoiles
0
4 étoiles
0
3 étoiles
0
2 étoiles
0
1 étoiles
0
Ajouter un commentaire et une critique
Nous ne partagerons jamais votre adresse e-mail avec qui que ce soit d'autre.