Dans "The Poisonwood Bible" de Barbara Kingsolver, le récit explore l'impact des souffrances personnelles et communautaires à travers la métaphore des cicatrices. La réflexion du personnage sur leur peau suggère que les marques visibles ne sont pas seulement physiques mais plutôt une indication des charges émotionnelles et historiques portées par des individus. Cette perception met en évidence le lien profond entre les expériences personnelles et l'identité.
De plus, le concept de peau comme une "carte de toutes les peines de leur vie" souligne comment le traumatisme façonne les gens, à la fois visiblement et invisiblement. Ces cicatrices servent de rappels des luttes et de la résilience passées, encapsulant une histoire qui influence le présent et l'avenir d'un individu. Cette idée encourage une compréhension plus profonde de l'empathie, car elle reconnaît la nature multiforme de la souffrance qui transcende une simple apparence.