Il n’y a pas de place pour l’imagination en géométrie.
(There is no space for imagination in geometry.)
Dans « Anne… la Maison aux pignons verts », le personnage d'Anne Shirley souligne les limites de la géométrie en déclarant : « Il n'y a pas de place pour l'imagination en géométrie ». Cela reflète sa conviction que les mathématiques, bien qu’essentielles, n’ont pas la créativité et la liberté que l’on trouve dans d’autres activités. Pour Anne, le monde est plus riche et plus dynamique grâce à l’imagination, qui alimente sa passion pour raconter des histoires et rêver au-delà des frontières.
Cette citation met en évidence le contraste entre la structure rigide de la géométrie et la nature illimitée de la pensée imaginative. Le point de vue d'Anne encourage les lecteurs à apprécier la valeur de la créativité, suggérant qu'au milieu des règles et des formules de sujets comme la géométrie, se cache un besoin de rêves et de pensée inventive qui peuvent inspirer et élever l'esprit humain.