Dans le "Rapport minoritaire de Philip K. Dick: le volume quatre des histoires collectées", un personnage envisage une femme énigmatique, suggérant qu'elle affiche des traits souvent associés aux sorcières. Cela conduit à l'idée que peut-être les sorcières n'étaient que des femmes vieilles mal compris qui possédaient des capacités uniques, en particulier le pouvoir de transcender le temps.
La référence met en évidence les thèmes du mystère et l'intersection de l'extraordinaire avec le banal. Il souligne comment la société étiquette souvent les individus ayant des dons exceptionnels en tant qu'étrangers ou des personnalités magiques, rappelant la sorcellerie. À travers cet objectif, l'histoire explore les perceptions du talent et des complexités des capacités humaines.