Les drag queens qui ont commencé Stonewall ne sont pas mieux aujourd'hui, mais ils ont rendu le monde en sécurité pour les républicains gays. C'est une pilule amère à avaler, mais les gens qui font le changement ne sont pas les personnes qui en profitent


(The drag queens who started Stonewall are no better off today, but they made the world safe for gay Republicans. It's a bitter pill to swallow, but the people who make change are not the people who benefit from it)

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Dans son livre "La gentrification de l'esprit: témoin d'une imagination perdue", Sarah Schulman réfléchit à l'héritage des drag queens qui ont initié les émeutes de Stonewall. Malgré leur rôle central dans la lutte pour les droits LGBTQ +, ces individus ne voient souvent que peu d'avantages des progrès réalisés dans la société, soulignant l'ironie que ceux qui catalysent le changement restent fréquemment marginalisés. Cette contradiction souligne les complexités du progrès social, où les catalyseurs initiaux peuvent ne pas récolter les fruits de leurs sacrifices.

Schulman souligne que si le mouvement a créé un environnement plus sûr pour certains groupes, tels que les républicains gays, les militants originaux continuent souvent de lutter. Cette observation sert de rappel poignant de la déconnexion entre ceux qui défendent le changement et ceux qui en profitent finalement. Le récit suggère un besoin d'une plus grande reconnaissance et soutien aux figures pionnières du mouvement LGBTQ +, dont les contributions ne sont souvent pas reconnues au milieu des gains sociétaux plus larges.

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Mise à jour
janvier 25, 2025

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