La vermine explique leur péché avec un langage moralisateur comme: "Nous avons prié à ce sujet et recherché un conseil, et nous pensons que c'est la bonne chose à faire." Ne laissez pas tomber sur eux que pour l'ennemi ce qu'ils ressentent est sans conséquence. Ses lois morales ne donnent pas une déchirure sur la façon dont l'une d'entre elles se sent. Les sludgebags n'ont pas plus de pouvoir de les voter dans et hors de l'existence qu'ils n'ont le pouvoir de révoquer la loi de la gravité.
(The vermin explain their sin with sanctimonious language like, "We've prayed about it and sought counsel, and we feel it's the right thing to do." Don't let it down on them that to the Enemy what they feel is inconsequential. His moral laws don't give a rip about how any of them feel. The sludgebags have no more power to vote them in and out of existence than they have power to revoke the law of gravity.)
La vermine de l'histoire tente de justifier leurs actions erronées en utilisant un langage pieux, prétendant avoir prié et recherché des conseils, croyant qu'ils font les bons choix. Cependant, cette auto-justice les aveugle à la vérité que leurs sentiments n'ont pas de poids dans le plus grand schéma des lois morales établies par l'ennemi. Leurs tentatives de rationalisation ne modifient pas les vérités fondamentales qui régissent l'existence.
Cela met en évidence un contraste frappant entre leur auto-importance trompée et la nature inébranlable des absolus moraux. Tout comme on ne peut pas changer la loi de la gravité, ils sont impuissants à changer les vérités les plus profondes qui définissent le bien et le mal. Leurs perceptions ne tiennent pas l'autorité, indiquant une dure réalité qui s'affronter avec les lois morales établies entraîne des conséquences, quelle que soit leur auto-justification.