Mais c'est difficile à expliquer, Mitch. Maintenant que je souffre, je me sens plus proche des gens qui souffrent que jamais auparavant. L'autre soir, à la télévision, j'ai vu des gens en Bosnie traverser la rue, se faire virer, tué et victimes innocentes ... et j'ai juste commencé à pleurer. Je ressens leur angoisse comme si c'était le mien. Je ne connais aucune de ces gens. Mais comment puis-je mettre cela? - Je suis presque ... attiré par eux.
(But it's hard to explain, Mitch. Now that I'm suffering, I feel closer to people who suffer than I ever did before. The other night, on TV, I saw people in Bosnia running across the street, getting fired upon, killed, innocent victims... and I just started to cry. I feel their anguish as if it were my own. I don't know any of these people. But--how can I put this?--I'm almost... drawn to them.)
Dans "Mardis with Morrie", l'auteur Mitch Albom partage une expérience profonde avec son mentor Morrie Schwartz, qui réfléchit à la souffrance et à son impact sur la connexion humaine. Alors que Morrie se lance avec sa propre douleur, il constate que cela approfondit son empathie pour les autres qui endurent les difficultés. Cette connexion favorise une compréhension collective de la souffrance qui transcende les expériences individuelles, permettant aux gens de se sentir liés par leurs difficultés partagées.
À travers un moment poignant concernant la souffrance des victimes innocentes en Bosnie, Morrie exprime une résonance émotionnelle intense avec ceux qui souffrent, soulignant la compassion innée qui découle de la souffrance. Sa capacité à ressentir de la chaleur et du lien avec les autres, bien que ne les connaissant pas personnellement, illustre comment l'adversité peut unir les individus grâce à des expériences émotionnelles partagées. Les idées de Morrie nous encouragent à embrasser nos vulnérabilités et à reconnaître la nature universelle de la souffrance.