Dans son livre "I Love Everybody", Laurie Notaro exprime franchement son aversion pour la vie en prison. Elle envisage avec humour les conséquences d'une potentielle de commettre un crime, déclarant qu'elle ne pouvait pas supporter l'idée d'être incarcérée. Notaro met en évidence son inconfort avec les espaces de partage, même avec son mari, illustrant son extrême aversion pour les environnements de vie communs. Sa franchise souligne une anxiété plus profonde...