Dans "quelque chose devenu" de Joseph Heller, le protagoniste réfléchit à la perte de sa capacité à provoquer un changement significatif dans sa vie. Il estime qu'en tant qu'adulte, sa capacité à défier le statu quo a considérablement diminué par rapport à son enfance. Cette prise de conscience souligne un sentiment de démission et de frustration, capturant la lutte dont beaucoup sont confrontés lorsqu'ils passent de l'idéalisme fougueux de la jeunesse aux réalités les plus sourdes de l'âge adulte.
La citation illustre un profond sentiment d'impuissance, suggérant que le protagoniste considère désormais la rébellion comme futile. L'innocence et l'audace de la jeunesse, qui lui ont autrefois permis d'avoir un impact, ont cédé la place à une acceptation plus passive de sa situation. Heller exprime poignant la transformation d'un agent actif du changement à quelqu'un qui se sent piégé par son environnement, mettant en évidence les complexités de la croissance personnelle et les vérités souvent difficiles de la maturité.