J'ai été étonné par son manque total d'apitoiement sur soi. Morrie, qui ne pouvait plus danser, nager, se baigner ou marcher; Morrie, qui ne pouvait plus répondre à sa propre porte, se sécher après une douche, ni même rouler dans son lit. Comment pourrait-il être si acceptant? Je l'ai regardé lutter avec une fourchette, ramasser un morceau de tomate, le manquant les deux premières fois - une scène pathétique, et pourtant je ne pouvais pas nier que s'asseoir en sa présence était presque magiquement serein, la même brise calme qui m'a apaisé en retour en arrière à l'université.
(I was astonished by his complete lack of self-pity. Morrie, who could no longer dance, swim, bathe, or walk; Morrie, who could no longer answer his own door, dry himself after a shower, or even roll over in bed. How could he be so accepting? I watched him struggle with a fork, picking at a piece of tomato, missing it the first two times - a pathetic scene, and yet I could not deny that sitting in his presence was almost magically serene, the same calm breeze that soothed me back in college.)
Dans "Mardis avec Morrie", Mitch Albom réfléchit à l'acceptation extraordinaire de son mentor, Morrie Schwartz, malgré les effets débilitants de la SLA. Morrie, autrefois dynamique et pleine de vie, est rendue sans défense, incapable d'effectuer des tâches simples comme le bain ou la marche. Pourtant, ce qui astoulie Mitch est le manque d'apitoiement de soi de Morrie. Au lieu de se vautrer dans son état, Morrie embrasse son sort avec un...