Le mal de déchets est le revers du coup de pied indésirable. Le coup de pied de la jonque est que vous devez l'avoir. Les drogués fonctionnent sur Junktime et Junkmetabolism. Ils sont soumis à un climat indésirable. Ils sont réchauffés et réfrigérés par des ordures. Le coup de pied de la malbouffe vit dans des conditions indésirables. Vous ne pouvez pas échapper à la maladie de la malbouffe que vous ne pouvez échapper au coup de pied de la jonque après un coup de feu.
(Junk sickness is the reverse side of junk kick. The kick of junk is that you have to have it. Junkies run on junktime and junkmetabolism. They are subject to junk climate. They are warmed and chilled by junk. The kick of junk is living under junk conditions. You cannot escape from junk sickness anymore than you can escape from junk kick after a shot.)
Dans "Junky", William S. Burroughs explore la double nature de la dépendance à travers les concepts de «mal de malbouffe» et de «coup de pied indésirable». Alors que le "coup de pied" fait référence au sommet euphorique que les utilisateurs éprouvent, la "mal de la malbouffe" apparaît comme une conséquence débilitante de cette dépendance. Ce cycle révèle comment la dépendance est consommée, avec les utilisateurs pris au piège dans une poursuite incessante de ce premier haut et incapable d'échapper aux effets négatifs qui suivent.
Burroughs souligne que les individus accro aux drogues opèrent dans un domaine façonné par leur dépendance, influençant à la fois leurs états physiques et mentaux. Ils endurent un style de vie dicté par leur besoin de drogue, ce qui crée un environnement sévère affectant tous les aspects de leur existence. Cette relation entre l'euphorique et la douloureuse met en évidence l'impact profond de la dépendance, illustrant à quel point ces expériences sont profondément liées pour le junkie.