Mon point est que la vie sur terre peut prendre soin de lui-même. Dans la pensée d'un être humain, cent ans depuis longtemps. Il y a cent ans, nous n'avions pas de voitures, d'avions et d'ordinateurs et de vaccins ... c'était un tout autre monde. Mais pour la terre, cent ans n'est * rien *. Un million d'années n'est * rien *. Cette planète vit et respire à une échelle beaucoup plus grande. Nous ne pouvons pas imaginer ses rythmes lents et puissants, et nous n'avons pas l'humilité pour essayer. Nous avons été des résidents ici pour un clin d'œil. Si nous sommes partis demain, la Terre ne nous manquera pas. - Ian Malcolm
(My point is that life on earth can take care of itself. In the thinking of a human being, a hundred years in a long time. A hundred years ago, we didn't have cars and airplanes and computers and vaccines...It was a whole different world. But to the earth, a hundred years is *nothing*. A million years is *nothing*. This planet lives and breathes on a much vaster scale. We can't imagine its slow and powerful rhythms, and we haven't got the humility to try. We have been residents here for the blink of an eye. If we are gone tomorrow, the earth will not miss us.- Ian Malcolm)
La vie sur terre a une résilience inhérente qui lui permet de prospérer indépendamment. Les humains peuvent percevoir le temps d'une manière qui se sent importante, croyant qu'un siècle est substantiel. Cependant, pour la planète, cent ans est trivial. Les progrès technologiques comme les voitures, les avions et les ordinateurs ont émergé en seulement un siècle, mais la Terre fonctionne sur une échelle de temps beaucoup plus grande, ce qui rend notre existence mais un bref moment dans sa vaste histoire.
Ian Malcolm souligne notre présence éphémère sur cette planète. Les rythmes de la Terre sont lents et puissants, opérant au-delà de la compréhension humaine. Bien que nous ayons eu un impact, notre temps ici est négligeable, et si l'humanité devait disparaître, la terre continuerait sans une seconde pensée. Cette perspective encourage l'humilité, reconnaissant que nous ne sommes que des résidents temporaires sur une planète beaucoup plus ancienne et plus durable.