Prenez mon état. Les choses que je suis censé être gênées par le fait de pouvoir marcher, de ne pas être capable d'essuyer le cul, de réveiller quelques matins voulant pleurer - il n'y a rien d'embarrassant ou de la honte à leur sujet. C'est la même chose pour les femmes qui ne sont pas assez minces, ou les hommes n'étant pas assez riches. C'est juste ce que notre culture vous ferait croire. Ne le croyez pas.
(Take my condition. The things I am supposed to be embarrassed about now-not being able to walk, not being able to wipe my ass, waking up some mornings wanting to cry-there is nothing innately embarrassing or shaming about them. It's the same for women not being thin enough, or men not being rich enough. It's just what our culture would have you believe. Don't believe it.)
L'orateur réfléchit aux difficultés personnelles, comme ne pas pouvoir marcher ou avoir besoin d'aide avec les tâches de base, soulignant que ces problèmes ne devraient pas évoquer des sentiments d'embarras ou de honte. Au lieu de cela, ils soutiennent que les normes sociétales dictent souvent ce qui est considéré comme acceptable, ce qui conduit à des sentiments inutiles d'insuffisance.
Le sentiment s'étend au-delà des limites physiques à des pressions sociétales plus larges, comme l'image corporelle des femmes et le succès financier des hommes. L'orateur encourage le rejet de ces normes culturelles et exhorte les individus à embrasser leurs réalités sans honte, favorisant une vision plus compatissante de soi.