La phrase évoque une surcharge sensorielle, où le son écrasant de l'eau remplissant un poumon devient secondaire à un bourdonnement constant et presque assourdissant des insectes. Cette description illustre une scène riche en imagerie, mettant en évidence la lutte contre la nature tout en capturant l'expérience brute de la survie et de la reddition.
La référence à la "dernière lettre de l'alphabet" suggère un sentiment de finalité ou d'aboutissement, faisant allusion aux thèmes du désespoir ou à la fin de quelque chose d'important. Cette conjonction du monde avec le monde naturel dans "Jimmy Corrigan, The Smart le plus Smart Kid on Earth" ajoute de la profondeur au récit, dépeignant à la fois la vulnérabilité humaine et la persistance incessante de la vie qui nous entoure.