Dans les «chevaux à moitié cassés» de Jeannette Walls, une scène vive se déroule où un arbre se transforme en un spectacle de couleurs. Les lumières rouges, jaunes, vertes, blanches et bleues vibrantes illuminent l'obscurité environnante, créant un contraste visuel frappant avec la nuit froide. Ce moment captive les spectateurs, qui ne peuvent s'empêcher de s'émerveiller de la beauté inattendue qui percène le vaste vide du paysage.
L'imagerie met l'accent sur l'isolement de l'environnement et l'éclat des lumières, attirant l'attention sur la façon dont une telle beauté peut émerger même dans des endroits désolés. L'arbre sert de phare d'espoir et de joie, rappelant aux personnages et aux lecteurs des merveilles qui peuvent s'épanouir au milieu de l'adversité.