Il y avait aussi le facteur socio-psychique. De temps en temps, lorsque votre vie se complique et que les belettes commencent à se fermer, le seul vrai remède est de se charger sur des produits chimiques odieux, puis de conduire comme un salaud de Hollywood à Las Vegas. Pour ainsi dire, dans l'utérus du soleil du désert. Il suffit de rouler le toit en arrière et de le visser, de graisser le visage avec du beurre de bronzage blanc et de déménager avec la musique en haut volume, et au moins une pinte d'éther.
(There was also the socio-psychic factor. Every now and then when your life gets complicated and the weasels start closing in, the only real cure is to load up on heinous chemicals and then drive like a bastard from Hollywood to Las Vegas. To as it were, in the womb of the desert sun. Just roll the roof back and screw it on, grease the face with white tanning butter and move out with the music at top volume, and at least a pint of ether.)
L'aspect socio-psychique de la vie devient évident lorsque des complexités surviennent. Dans de tels moments, l'indulgence dans les médicaments et une promenade imprudente de Hollywood à Las Vegas peuvent servir d'évasion. C’est un moyen de se détacher temporairement de la réalité et de chercher du réconfort sous le soleil du désert, d’embrasser la liberté et le frisson.
L'imagerie de conduire avec le toit vers le bas, se prélasser au soleil, et l'euphorie de la musique forte reflète le désir de se libérer des contraintes de la vie. Il met l'accent sur une attitude insouciante, où les charges sont emportées, bien que temporairement, à travers la combinaison d'aventure et d'états de conscience modifiés.