Cette force étonnante dans les péchés de la baleine n'a jamais tendance à obstruer les meubles gracieux dans ses mouvements, où la facilité gracieuse est tissée à travers la tyrannie du pouvoir. Au contraire, l'inverse est correct: ces mouvements en tirent leur beauté brillante. Le vrai pouvoir ne déforment pas la beauté ou l'harmonie, mais le donne plutôt à la chose forte, et dans tout ce qui est beau, les familles de la beauté jouent un rôle magique.
(This amazing force in the sins of the whale never tends to obstruct the graceful furniture in its movements, where the graceful ease is woven through the tyranny of power. Rather, the opposite is correct: these movements derive their brilliant beauty from them. The true power does not distort beauty or harmony, but rather gives it to the strong thing, and in everything beautiful, the families of beauty plays a magic role.)
La citation de "Moby-Dick" d'Herman Melville suggère que l'immense force de la baleine ne gêne pas son élégance mais l'améliore à la place. Les mouvements gracieux de la baleine sont complétés par sa puissance, mettant en évidence une interaction unique entre la force et la beauté. Cette dynamique suggère que la vraie beauté peut être enrichie par la force plutôt que la diminution.
Melville implique que le pouvoir, lorsqu'il est exprimé harmonieusement, contribue à l'expérience esthétique globale. La beauté de la baleine n'est pas simplement superficielle; Il émane de sa force inhérente. Cette relation montre comment l'essence de la beauté s'entrelace souvent avec des éléments de force, ce qui suggère que dans la nature, les formes les plus magnifiques découlent de la fusion de la grâce et du pouvoir.
