Je n'ai pas le temps de lire la fiction populaire. Je suis trop occupé avec le travail. Les secrétaires, pensa-t-il acidité, lisent que les ordures, à la maison au lit la nuit. Cela les stimule. Au lieu de la vraie chose. Dont ils ont peur. Mais bien sûr, vraiment envie.


(I don't have time to read popular fiction. I'm too busy with work.' Secretaries, he thought acidly, read that junk, at home in bed at night. It stimulates them. Instead of the real thing. Which they're afraid of. But of course really crave.)

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Le protagoniste réfléchit à la vie bien remplie des autres qui choisissent la fiction populaire à une littérature substantielle. Il considère cette préférence comme un signe de superficialité, suggérant que les individus sont trop préoccupés par leurs responsabilités quotidiennes pour s'engager avec des œuvres plus profondes. Cette pensée est teintée de mépris envers celles qu'il croit se contenter de matériaux moins stimulants intellectuellement.

Il croit que de tels choix révèlent une envie plus profonde de connexion et de compréhension significatives, mais les gens optent pour ce qui est confortable et accessible. La notion laisse entendre une tendance sociétale à éviter les idées difficiles, optant plutôt pour les distractions qui ne satisfont pas leurs désirs réels pour la connaissance et l'illumination.

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Mise à jour
janvier 24, 2025

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