Dans l'imagination populaire, l'industrie américaine de la diffusion de mouvement représente toujours une sorte de monstre mécanique, programmé pour étouffer et détruire tout ce qui est intéressant et valable et "créatif" dans l'esprit humain.
(In the popular imagination, the American motion-picture industry still represents a kind of mechanical monster, programmed to stifle and destroy all that is interesting and worthwhile and "creative" in the human spirit.)
L'œuvre de Joan Didion, "Souching vers Bethléem", explore la perception de l'industrie cinématographique américaine comme une force formidable qui supprime la créativité et l'individualité. Beaucoup considèrent Hollywood comme une entité qui priorise le succès commercial sur l'expression artistique, transformant de véritables talents en produit marchandisé. Cette croyance renforce l'idée que l'industrie est une vaste machine qui détruit systématiquement l'unique et l'innovant.
Grâce à son écriture, Didion réfléchit à cette vision critique et examine comment elle façonne les attitudes culturelles envers le film et la créativité. La notion de l'industrie en tant que «monstre mécanique» parle d'une préoccupation plus large de l'impact des médias de masse sur l'expression humaine, ce qui suggère que la poursuite du profit pourrait éclipser le véritable esprit de la création artistique. Elle invite les lecteurs à reconsidérer les implications d'une telle caractérisation et ses conséquences pour les artistes et le public.