Ça continue, pensa-t-il. La haine intestine. Peut-être que les graines sont là, là-dedans. Ils se mangeront enfin et laisseront le reste d'entre nous ici et là dans le monde, toujours en vie. Assez encore de nous une fois de plus pour construire et espérer et faire quelques plans simples.


(It goes on, he thought. The internecine hate. Perhaps the seeds are there, in that. They will eat one another at last, and leave the rest of us here and there in the world, still alive. Still enough of us once more to build and hope and make a few simple plans.)

(0 Avis)

Dans "The Man in the High Castle", le protagoniste réfléchit sur la nature destructrice de la haine parmi les gens. Il perçoit un cycle de conflit interne qui peut finalement conduire à leur propre disparition, laissant un reste de l'humanité pour continuer à exister. Cette lutte en cours suggère un avenir sombre, où les personnes consommées par l'animosité finiront par se compromettre.

Malgré les sombres perspectives, le protagoniste tient une lueur d'espoir pour la reconstruction. Il envisage un avenir où un petit groupe survit au chaos, conservant la capacité d'espoir et de planification. Cette notion de résilience au milieu des troubles souligne le potentiel de changement positif, même face à un conflit écrasant.

Page views
8
Mise à jour
janvier 24, 2025

Rate the Quote

Ajouter un commentaire et une critique

Avis des utilisateurs

Basé sur 0 avis
5 étoiles
0
4 étoiles
0
3 étoiles
0
2 étoiles
0
1 étoiles
0
Ajouter un commentaire et une critique
Nous ne partagerons jamais votre adresse e-mail avec qui que ce soit d'autre.