Il est curieux que l'Église soit devenue la plus serrée au moment même de l'histoire où Dieu a le plus généreusement fourni. Il y a beaucoup de choses sur la fin de l'ère, et beaucoup de gens semblent croire que le Christ reviendra de leur vie. Mais pourquoi s'attendre à ce que le retour du Christ n'a pas radicalement influencé nos dons? Pourquoi est-ce que les gens qui croient au bientôt retour du Christ sont si rapides à construire leurs propres empires financiers - que la prophétie nous dit que le royaume de Dieu nous dit - et si lent pour construire le royaume de Dieu?
(It's curious that the Church has become the most tightfisted at the very time in history when God has provided most generously. There's considerable talk about the end of the age, and many people seem to believe that Christ will return in their lifetime. But why is it that expecting Christ's return hasn't radically influenced our giving? Why is it that people who believe in the soon return of Christ are so quick to build their own financial empires--which prophecy tells us will perish--and so slow to build God's kingdom?)
Randy Alcorn souligne un paradoxe intrigant au sein de l'Église: alors que Dieu a été extrêmement généreux, l'Église elle-même est devenue de plus en plus avare. Malgré des croyances généralisées sur le retour imminent du Christ, cette attente ne semble pas inspirer des changements radicaux dans la façon dont les individus allacent leurs ressources. Au lieu de hiérarchiser la croissance du royaume de Dieu, de nombreux croyants se concentrent sur l'accumulation...