À côté de M. Baynes, le général Tedeki a déclaré d'une voix douce, vous assistez au désespoir de l'homme. Lui, vous voyez, a sans aucun doute été élevé comme un bouddhiste. Même si ce n'était pas formellement, l'influence était là. Une culture dans laquelle aucune vie ne doit être prise; toutes les vies saints. M. Baynes a hoché la tête. Il récupérera son équilibre, a poursuivi le général Tedeki. Dans le temps. À l'heure actuelle, il n'a aucun point de vue par lequel il peut voir et comprendre son acte. Ce livre l'aidera, car il fournit un cadre de référence externe.
(over beside Mr. Baynes, General Tedeki said in a soft voice, You witness the man's despair. He, you see, was no doubt raised as a Buddhist. Even if not formally, the influence was there. A culture in which no life is to be taken; all lives holy. Mr. Baynes nodded. He will recover his equilibrium, General Tedeki continued. In time. Right now he has no standpoint by which he can view and comprehend his act. That book will help him, for it provides an external frame of reference.)
Dans "The Man in the High Castle" de Philip K. Dick, une conversation poignante se déroule entre M. Baynes et le général Tedeki. Le général Tedeki note la profonde tristesse d'un homme influencé par les enseignements bouddhistes, suggérant que son origine culturelle l'empêche de se réconcilier avec les implications morales de ses actions. L'accent mis sur la valorisation de toute vie met en évidence la lutte que cet homme est confrontée en se réconciliant avec son désespoir.
Alors que la discussion se poursuit, Tedeki exprime la confiance que l'homme finira par retrouver son équilibre. Il souligne que le livre en question servira d'outil crucial pour l'introspection, offrant une perspective externe qui aidera à comprendre ses sentiments et ses actions. Cet échange souligne l'impact des valeurs culturelles sur les crises personnelles et l'importance de la littérature dans la navigation des paysages émotionnels complexes.