Je ne veux pas vivre ... qui s'est levé le premier, le matin, juste pour se sentir froid sur sa peau nue? Qui allait se coucher la dernière dernière quand elle ne pouvait plus se fatiguer, pour vivre un peu de la nuit? Qui pleurait déjà, pensant qu'il y avait tant de petits animaux, tant de brins d'herbe dans la prairie et que nous ne pouvions pas les prendre tous?


(Not want to live ... Who got up the first, in the morning, just to feel cold on his bare skin? Who was going to bed the last last when she couldn't get fatigue any more, to live a little bit of the night? Who was already crying, thinking that there were so many little animals, so many strands of grass in the meadow and that we could not take them all?)

📖 Jean Anouilh

🌍 Français

🎂 June 23, 1910  –  ⚰️ October 3, 1987
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Cet extrait de "Antigone" de Jean Anouilh reflète un profond sentiment de contemplation existentielle. Il capture les difficultés des individus confrontés aux dures réalités de la vie, comme le froid de l'aube et la solitude de la nuit. La mention de quelqu'un qui se lève tôt juste pour expérimenter le froid souligne un lien profond avec la nature et le sentiment de vulnérabilité qui l'accompagne. Il soulève des questions sur le but de la vie et l'inévitabilité du chagrin qui l'accompagne.

L'imagerie de pleurer sur les innombrables animaux et les lames de l'herbe dans la prairie suggère un sentiment de perte et les limites de l'existence. Il transmet un désir de connexion et une conscience écrasante de la beauté et de la fragilité de la vie. L'écriture d'Anouilh capture l'état contemplatif de l'humanité, aux prises avec leurs émotions dans un monde rempli d'émerveillement et de tristesse.

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Mise à jour
janvier 28, 2025

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