Dans cet extrait, l'auteur Laurie Notaro peint une image vivante de la vulnérabilité de Holly au virus de la grippe. Elle illustre la scène où d'innombrables particules microscopiques remplies de germes entourent le houx, déterminées à envahir son corps. Cette imagerie met en évidence l'omniprésence des germes et la menace constante qu'ils constituent pour notre bien-être, capturant un sentiment d'impuissance contre de tels ennemis invisibles.
Notaro compare intelligemment la mission des germes à ses propres expériences avec les rencontres, ajoutant une touche humoristique au scénario autrement sombre. Cette comparaison reflète l'absurdité et la nature souvent incontrôlable de la vie, qu'elle implique des germes ou des relations. La combinaison de l'humour et de l'anxiété à propos des germes met l'accent sur la perspective unique de l'auteur sur les défis quotidiens, mélangeant l'humour avec une dure réalité.