Le monde physique - le monde de la pierre et de la brique - est indifférent à nos souffrances, à nos drames, pensa-t-elle. Même un champ de bataille peut être paisible, peut être un endroit où les fleurs poussent, pour que les enfants jouent; Les souvenirs, la tristesse, sont en nous, ne faisant pas partie du monde à propos de nous.
(The physical world-the world of stone and brick-is indifferent to our suffering, to our dramas, she thought. Even a battlefield can be peaceful, can be a place for flowers to grow, for children to play; the memories, the sadness, are within us, not part of the world about us.)
Dans "L'attrait rare des nuages", le protagoniste réfléchit à l'indifférence du monde physique. La terre, composée de pierre et de brique, n'est pas affectée par la souffrance humaine et les troubles émotionnels. Cela suggère que la nature poursuit son cours indépendamment des expériences humaines, mettant en évidence un contraste frappant entre nos luttes internes et la réalité externe.
Le personnage observe que même les lieux marqués par des conflits, comme les champs de bataille, peuvent se transformer en environnements sereins où la vie s'épanouit. Cette dualité souligne que si nous portons des souvenirs et de la tristesse en nous, le monde à l'extérieur n'est pas façonnée intrinsèquement par nos drames personnels. Il rappelle que la paix et la beauté peuvent émerger même des contextes les plus douteux.