Il y a en effet des canards à Blackford Pond. Murmura Isabel. Quoi? Sur l'étang. Il y a des canards sur l'étang. Il y a du poisson dedans. Même pendant qu'elle parlait, Isabel ne savait pas pourquoi elle était si pédante, et


(There are indeed ducks in Blackford Pond. On it, muttered Isabel. What? On the pond. There are ducks on the pond. There are fish in it. Even as she spoke, Isabel had no idea why she was being so pedantic, and)

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Dans l'histoire "Les charmantes bizarreries des autres" par Alexander McCall Smith, le personnage qu'Isabel observe et commente la présence de canards et de poissons à Blackford Pond. Ses réflexions mettent en évidence un moment de détails inutiles alors qu'elle insiste pour indiquer l'évidence. Cela peut refléter sa nature introspective et son inclination vers l'analyse, la conduisant souvent à sur-clarifier ce qui pourrait être des observations simples.

Cette scène incarne les bizarreries d'Isabel et le charme du récit, qui se plonge souvent dans les nuances de la vie quotidienne. Les personnages engagent des conversations qui révèlent à la fois leurs personnalités et les relations qu'ils partagent avec leur environnement. Ces dialogues créent un délicieux examen du comportement humain et de l'interaction.

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Mise à jour
janvier 23, 2025

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