Il y a un avantage à l'ignorance et un inconvénient des connaissances. La connaissance rend la vie plus désordonnée. Cela rend un peu plus difficile pour une personne qui souhaite rétrécir le monde à une vision du monde.
(There is an upside to ignorance, and a downside to knowledge. Knowledge makes life messier. It makes it a bit more difficult for a person who wishes to shrink the world to a worldview.)
Dans "The Fifth Risk", Michael Lewis présente une perspective stimulante sur la nature des connaissances et de l'ignorance. Il suggère que si la connaissance peut autonomiser les individus, cela complique également la vie en introduisant des complexités et des incertitudes. Ce désordre peut être écrasant pour ceux qui préfèrent les visions du monde simples et contenues.
Lewis soutient qu'il y a un certain confort dans l'ignorance, car il permet aux individus de naviguer dans la vie sans se débattre avec les réalités complexes du monde. Cependant, cette commodité s'accompagne de son propre ensemble de risques, car être non informé peut conduire à un échec à comprendre et à résoudre les problèmes critiques. En fin de compte, l'auteur met en évidence la tension entre la clarté que l'ignorance fournit et les responsabilités qui accompagnent d'être bien informés.