... Il n'y a pas de folie de la bête de la terre qui n'est pas infiniment en reste par la folie des hommes.

... Il n'y a pas de folie de la bête de la terre qui n'est pas infiniment en reste par la folie des hommes.


(...there is no folly of the beast of the earth which is not infinitely outdone by the madness of men.)

(0 Avis)

La citation de "Moby-Dick" d'Herman Melville capture un commentaire profond sur la nature humaine, suggérant que les comportements irrationnels et téméraires des humains dépassent de loin ceux trouvés dans le royaume animal. Cela implique que si les animaux peuvent présenter une folie, leurs actions pâlinent par rapport aux complexités et aux extrêmes de la folie humaine. Cette perspective invite les lecteurs à réfléchir sur les aspects les plus sombres de l'humanité, liant les parallèles entre les instincts les plus sauvages des bêtes et le comportement souvent chaotique des gens.

L'affirmation de Melville encourage un examen plus profond de ce qui pousse l'humanité à agir de manière irrationnelle, souvent régie par des émotions, des pressions sociétales et des désirs individuels. Il soulève des questions sur la moralité et les conséquences de nos actions, mettant en évidence une préoccupation intemporelle concernant les conséquences d'un comportement humain incontrôlé. Ce thème résonne à travers le récit de «Moby-Dick», tel qu'il explore les implications plus larges de l'obsession, de la vengeance et de la lutte contre la nature, révélant finalement la dualité de l'existence humaine par rapport au monde naturel.

Page views
533
Mise à jour
octobre 24, 2025

Rate the Quote

Ajouter un commentaire et une critique

Avis des utilisateurs

Basé sur 0 avis
5 étoiles
0
4 étoiles
0
3 étoiles
0
2 étoiles
0
1 étoiles
0
Ajouter un commentaire et une critique
Nous ne partagerons jamais votre adresse e-mail avec qui que ce soit d'autre.