Nous, les hommes, sommes les esclaves des préjugés », lui avait-il dit une fois. `` Mais quand une femme décide de dormir avec un homme, il n'y a pas de mur qu'elle ne fera pas évoluer, pas de forteresse qu'elle ne détruira pas, aucune considération morale qu'elle n'ignorera pas à sa racine: il n'y a pas de Dieu qui vaut la peine d'être inquiétant.


(We men are the slaves of prejudice,' he had once said to her. 'But when a woman decides to sleep with a man, there is no wall she will not scale, no fortress she will not destroy, no moral consideration she will not ignore at its very root: there is no God worth worrying about.)

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Dans «Love in the Time of Cholera», le protagoniste réfléchit sur la nature des préjugés humains, en particulier ceux qui affectent les hommes et les femmes dans les relations romantiques. Il suggère que si les hommes sont souvent limités par les attentes et les préjugés sociétaux, les femmes possèdent une capacité remarquable à surmonter les obstacles dans la poursuite de l'amour. Cette observation met en évidence une différence perçue dans la façon dont les hommes et les femmes abordent leurs désirs et leurs relations.

La citation souligne les longueurs auxquelles les femmes peuvent aller lorsqu'elles choisissent de se connecter avec un homme, ce qui suggère que l'amour peut remplacer la morale profondément ancrée et les normes sociétales. Il dépeint l'amour comme une force puissante qui peut décomposer les barrières et amener les individus à abandonner leurs valeurs pour le bien de leurs passions, indiquant un engagement profond et parfois imprudent à l'amour.

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Mise à jour
janvier 27, 2025

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