De toute évidence, Valdez était un apologiste pour les industriels et les pollueurs, les grandes entreprises américaines qui ont dominé le Costa Rica et d'autres pays d'Amérique latine. Pas surprenant de trouver une telle personne ici, car la CIA a contrôlé le Costa Rica pendant des décennies. Ce n'était pas un pays; C'était une filiale des intérêts commerciaux américains. Et les entreprises américaines n'ont pas fait de merde pour l'environnement.
(Clearly, Valdez was an apologist for the industrialists and polluters, the big American companies that dominated Costa Rica and other Latin American countries. Not surprising to find such a person here, since the CIA had controlled Costa Rica for decades. This wasn't a country; it was a subsidiary of American business interests. And American businesses did not give a damn for the environment.)
Dans le livre "Next" de Michael Crichton, Valdez est décrit comme un défenseur des industriels et des grandes sociétés qui ont historiquement exploité des pays comme le Costa Rica. Cette perspective s'aligne sur l'influence que les entreprises américaines ont exercées dans la région, la traitant davantage comme une extension de leurs intérêts qu'une nation indépendante.
Le récit souligne que la présence de chiffres comme Valdez n'est pas surprenante, compte tenu du contrôle de longue date exercé par la CIA sur le Costa Rica. La représentation du pays en tant que simple filiale des intérêts commerciaux américains met en évidence un mépris des préoccupations environnementales de ces sociétés, soulignant l'impact préjudiciable à une telle exploitation sur la région.