... Cette femme, ému par une douleur privée autant que les mots prononcés, cria presque silencieusement, non observé par d'autres, à part le MMA Ramotswe, qui tendit sa main et le posa sur son épaule. , elle a commencé à chuchoter, mais a changé ses mots alors qu'elle les prononçait, et dit tranquillement ,. Nous ne devons pas dire aux gens de ne pas pleurer - nous le faisons à cause de notre sympathie pour eux - mais nous devons vraiment leur dire que leurs larmes sont justifiées et tout à fait raison.
(...this woman, moved by some private sorrow as much as the words being spoken, cried almost silently, unobserved by others, apart from Mma Ramotswe, who stretched out her hand and laid it on her shoulder. , she began to whisper, but changed her words even as she uttered them, and said quietly, . We should not tell people not to weep - we do it because of our sympathy for them - but we should really tell them that their tears are justified and entirely right.)
Dans "The Double Comfort Safari Club", un moment poignant se déroule lorsqu'une femme, touchée par son propre chagrin, pleure tranquillement lors d'un rassemblement. Bien que ses larmes passent inaperçues par la plupart, le MMA Ramotswe perçoit sa détresse et offre un réconfort en posant sa main sur l'épaule de la femme, créant une connexion qui parle plus fort que les mots. Cet affichage illustre le thème de l'empathie répandue tout au long de l'histoire, soulignant l'importance de reconnaître et de valider les émotions des autres.
MMA Ramotswe réfléchit sur la nature des larmes, suggérant que nous ne devons pas décourager les gens de pleurer, car c'est une expression naturelle de la compassion humaine. Au lieu de cela, elle plaide pour une affirmation de leurs sentiments, affirmant que les larmes sont une réponse légitime à la douleur. Cette perspicacité renforce l'exploration du récit des connexions humaines et la signification de montrer la compréhension en période de troubles émotionnels.