Dans l'œuvre de Naguib Mahfouz "Satan est prêche", l'arrivée d'une personne apporte un sentiment d'anticipation chez les personnes âgées. Ce moment soulève des questions sur la nécessité d'une réflexion ou d'une réévaluation de leur situation. L'atmosphère est alourdie par des odeurs désagréables, symbolisant la négativité qui affecte leur environnement.
Le récit suggère que ces effets néfastes pénètrent profondément, ce qui a un impact même des créatures innocentes. Les fronts des animaux peuvent représenter la pureté et l'innocence, contrastant avec la corruption impliquée par la présence de cette personne. L'écriture de Mahfouz plonge dans les thèmes de l'espoir, de la décroissance morale et du besoin d'une auto-évaluation critique face aux réalités difficiles.