Il était difficile de disparaître complètement au Botswana, où il y avait moins de deux millions de personnes et où les gens avaient une bonne curiosité quant à qui était qui et d'où les gens venaient. Il était très difficile d'être anonyme, même à Gaborone, car il y aurait toujours des voisins qui voudraient savoir exactement ce que l'on faisait et qui avait été.


(It was hard to disappear completely in Botswana, where there were fewer than two million people and where people had a healthy curiosity as to who was who and where people had come from. It was very difficult to be anonymous, even in Gaborone, as there would always be neighbours who would want to know exactly what one was doing and who one's people had been.)

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Au Botswana, l'anonymat complet est presque impossible en raison de la petite population de moins de deux millions. Les gens sont naturellement curieux les uns des autres, conduisant à une communauté soudée où les antécédents et les activités de chacun deviennent des connaissances communes. Cela rend difficile pour les individus de maintenir l'intimité dans leur vie quotidienne.

Même dans la capitale, Gaborone, la proximité des voisins favorise un environnement où la curiosité prévaut. Les résidents se sentent souvent obligés de se renseigner sur la vie de chacun, ce qui rend difficile les nouveaux arrivants ou ceux qui cherchent à intimité à se fondre sans attirer l'attention sur eux-mêmes.

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Mise à jour
janvier 23, 2025

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