Dans "Friends, Lovers, Chocolate" par Alexander McCall Smith, le personnage Isabel éprouve un profond sentiment de vide lors de l'observation de la proximité entre les autres. L'intimité de leurs gestes la frappe profondément, évoquant une réaction émotionnelle intense qui la laisse presque essoufflée, comme si elle n'avait pas l'air nécessaire pour respirer.
Ce moment met en évidence la vulnérabilité d'Isabel et son désir de connexion. Cela reflète ses luttes internes et les complexités de ses sentiments envers les relations, soulignant comment de telles interactions personnelles peuvent profondément affecter son état émotionnel.