Parfois, le monde semblait si injuste: les bonnes personnes étaient trompées ou intimidées par les mauvaises personnes, et les mauvaises personnes semblaient s'en tirer. Si seulement il pouvait faire quelque chose, il se dit-il. Mais alors il a pensé: que puis-je faire? Et la réponse, lui semblait, était: pas grand-chose.
(Sometimes the world seemed so unfair: good people were tricked or bullied by bad people, and the bad people seemed to get away with it. If only he could do something about it, he said to himself. But then he thought: What can I possibly do? And the answer, it seemed to him, was: Not much.)
L'histoire reflète un profond sentiment de frustration avec les injustices du monde, où les individus bien intentionnés souffrent souvent de la main de malveillants. Le protagoniste est aux prises avec des sentiments d'impuissance alors qu'il observe l'injustice autour de lui, se demandant pourquoi les mauvaises actions restent impunites tandis que les bonnes personnes supportent la souffrance. Ce conflit interne le pousse à contempler sa propre capacité à modifier le changement.
En fin de compte, il se laisse réfléchir aux limites de son pouvoir et de son influence, réalisant que malgré ses désirs pour la justice, il se sent presque impuissant à avoir un impact significatif. Cette réalisation capture la lutte que beaucoup sont confrontées lorsqu'ils sont confrontés à la réalité de la moralité et à la nature souvent inéquitable de la vie.