L'expérience de l'expatrié est marquée par une forme unique de solitude qui s'entretient avec un sentiment de liberté. Ce sentiment émerge en quittant sa patrie et son confort habituel, créant un paradoxe où la solitude peut être perçue comme à la fois lourde et libératrice. Il reflète les complexités de la vie dans un endroit étranger, où l'excitation des nouveaux débuts est souvent tempérée par l'absence de liens sociaux familiers.
Dans "Paris to the Moon", Adam Gopnik capture cette émotion complexe, soulignant comment les expatriés savourent leur indépendance tout en luttant simultanément avec l'isolement. L'acte de s'échapper de sa vie antérieure apporte une nouvelle liberté, mais elle révèle également le vide des connexions laissées. Cette dualité établit une toile de fond riche pour comprendre les subtilités de la vie des expatriés.