Ces sociopathes », a-t-il dit. «À quoi ressemblent-ils? À l'intérieur? 'Isabel sourit. «Impertinent», a-t-elle dit. «Ils ne se sentent pas émouvés. Regardez un chat quand il fait quelque chose qui ne va pas. Il a l'air assez impassible. Les chats sont des sociopathes, vous voyez. C'est leur état naturel.
(These sociopaths,' he said. 'What do they feel like? Inside?'Isabel smiled. 'Unmoved,' she said. 'They feel unmoved. Look at a cat when it does something wrong. It looks quite unmoved. Cats are sociopaths, you see. It's their natural state.)
Dans "The Sunday Philosophy Club", les personnages explorent les états émotionnels des sociopathes. Une conversation révèle une curiosité sur ce que les sociopathes vivent en interne. La perspective offerte est qu'elles ne sont pas affectées par les émotions, similaires à la façon dont un chat se comporte lorsqu'il se comporte mal - indifférent et non aimé par ses actions.
Isabel suggère que ce détachement émotionnel est une condition naturelle, faisant une comparaison entre les sociopathes et les chats, qui ont tendance à montrer un manque de préoccupation pour leurs méfaits. Cette analogie illustre le concept de ne pas être troublé par ses propres échecs moraux, mettant en évidence une déconnexion des réponses émotionnelles typiques.