Dans "The Poisonwood Bible" de Barbara Kingsolver, le narrateur réfléchit à l'expérience du chagrin. Tout en avançant activement dans la vie, le chagrin est distant, comme les cheveux d'un nageur qui coulent dans l'eau. Le narrateur reconnaît sa présence mais ne se sent pas non inclus tant qu'ils restent en mouvement.
Cependant, lorsqu'ils s'arrêtent, la lourdeur du chagrin devient écrasante, les enveloppant et rendant difficile la respiration. Cela illustre la lutte de confronter le chagrin; Il met en évidence l'importance de rester engagé dans la vie pour garder le désespoir à distance. Le narrateur choisit de continuer à bouger pour éviter d'être consommé par son chagrin.